Anglais : Les parties du corps

January 13, 2019

Dédié à Annie B., avec tout mon amour
 
 
Vous ai-je déjà parlé de ma Tante Annie ? Depuis la naissance de mes enfants, elle a été rebaptisée "Grand Tante Annie". C'est un surnom un peu enfariné, je l'admets : il évoque une figure désuète avec laquelle la vraie Annie n'a pas grand chose à voir ... Si ce n'est : son amour pour les antiquités ... et l'Angleterre. Toute l'Angleterre : sa langue, sa littérature, son architecture, ses petits déjeuners ... et ses antiquités. 😊

Il se trouve que Grand Tante Annie est aussi une Tata gâteau - son grand plaisir est de faire plaisir, et à chaque Noël, elle gâte mes enfants comme elle m'a gâtée lorsque j'étais petite (c'est-à-dire : trop !!).

Parmi les nombreux cadeaux de Noël de Grand Tante Annie cette année, il y eu un abonnement à I Love English Mini. Dire que tous les mois nous recevrons ce joli magazine accompagné de son CD !! (Danse de la Joie !) MERCI, ANNIE !!

Il y a quelques jours, nous reçûmes donc le premier numéro de notre abonnement tout neuf, dédié aux couleurs (que les enfants connaissent déjà) et aux noms des différentes parties du corps (inconnues au bataillon). Quelle chance : ce numéro associe un champ lexical nouveau avec des notions qui sont déjà connues ! C'est le principe même de l'apprentissage : quelle motivation, quand on maitrise déjà une partie de ses objectifs ! Et quand on constate qu'en acquérant l'autre, on peut d'ores et déjà produire et comprendre des énoncés complexes !

Alors, forcément, ça nous a démangés. Pour "enfoncer le clou" et manipuler ces vocables nouveaux, nous avons déroulé une petite séquence pédagogique ... Je pressens que I Love English nous en inspirera d'autres !! 😊

1. Let's draw a monster !!


Le numéro du mois propose (entre autre !) une petite bande dessinée descriptive : on observe un drôle de personnage. Il est vraiment curieux ! "It's a monster ! The monster has a white face ... and orange hair ! (...) The monster has pink fingers and black arms  ! (...) What a funny monster !" Le principe consiste à associer, à travers une formule répétitive, un nom de couleur à une partie du corps.

Nous avons donc lu cette bande-dessinée plusieurs fois, nous avons écouté les pistes du CD s'y rapportant, et puis, un beau jour, j'ai proposé aux enfants de réaliser un dessin "en anglais". Un dessin en anglais ? Leur curiosité était piquée : "Mais enfin, Maman, ce n'est pas possible ! - Si, si, vous allez voir !!" 😊

Je leur explique qu'il vont dessiner un monstre ("Let's draw a monster !"), mais pas n'importe comment. Je "passerai commande" de chaque partie du corps en la nommant en anglais. Bien sûr, plus cette partie du corps sera dessinée de manière bizarroïde, plus le résultat sera amusant : "Let's draw a funny monster ! A very, very, funny monster !!"

C'est parti :

"The monster has ... a face."

Ici, je désigne mon propre visage : "A face !"

Je me penche sur les dessins : "Oh ! What a funny face !!"

Et puis :

"The monster has ... legs !"

Même manège : je mime, je commente en réutilisant les formules connues : "One, two, three legs !! Oh ! What a funny monster !" Les dessins prennent forme.


"The monster has ... a month  ! The monster has eyes !"


 "The monster has a nose (or noses !), arms, hands, fingers ..."


... and feet."


"What a funny monster !" 😊


Je vous avais bien dit qu'on pouvait dessiner en anglais ! 😉

2. Let's dance !


Je rechigne toujours à faire des cartes de nomenclature du corps humain. Je n'en ai jamais fait en français et je n'en ferai pas en anglais. L'intérêt des flashcards, c'est de pouvoir dégainer à tout moment l'image d'un objet qu'on n'a pas sous la main (au hasard : un raton-laveur, un bus ou un épicéa). Mais pour le corps, il est là, juste là, et il ne demande qu'à bouger !! Let's dance !!

(P.S. En vrai de vrai, il y a une autre raison pour laquelle je n'aime pas les cartes de nomenclature du corps. Je n'aime pas cette vision qu'on a de lui trop souvent dans le monde moderne, comme s'il était une sorte d'assemblage de parties fragmentées et hétérogènes. L'étude des "parties" du corps devrait toujours se faire en relation avec le "tout", sous peine de sombrer dans une vision "mécaniste" de notre organisme. Mais je m'égare, oui, oui.)

Donc, pour réviser le nom des différentes parties du corps en anglais, on bouge son corps, le vrai !! Et en musique, c'est encore mieux. Et sur Youtube, on a le choix ! Voici une version bling-bling-boum-boumune version rock'n'roll, et une version plutôt pop (?). Et on termine par un petit Head, shoulders, knees et toes, of course ! Bon, la qualité musicale et graphique n'est pas toujours d'un goût parfait, mais on rigole bien et ça défoule !! 😁 Le but est de mémoriser ces comptines, dans la joie, la bonne humeur, le défoulement et la gratuité, et de les chanter in fine tout seul sans ordi ! C'est sûr : ce sera plus joli ! 😊

3.Let's read !


GO AWAY, BIG GREEN MONSTER !

À ce moment de la séquence, je ressens un besoin intense et absolument non négociable (rassurez-vous, ça m'arrive souvent, je gère ! 👍) : il nous FAUT acquérir un ouvrage de littérature jeunesse. En anglais. Qui nous permette de réinvestir tout cela à travers les arts littéraires et picturaux. Je me mets en quête de l'album culte qui sera suffisamment intemporel pour ne pas paraitre "bébé" à mes grands dadais de 6 et 8 ans, et suffisamment minimaliste pour qu'ils puissent le comprendre et y prendre plaisir...

Je l'ai trouvé à travers ce merveilleux classique d'Ed Emberley. On ne le présente plus, il remplit parfaitement la fonction : ludique à souhait (que dis-je : jouissif !! Haha ! Go Away, Big green monster, car je n'ai même pas peur ! Je te fais disparaitre quand je veux ! Haha !), il réinvestit à merveille le lexique des couleurs et des parties du visage. Et mes enfants ont eu l'agréable surprise de constater que, dès la première lecture, ils comprenaient (presque) tout ! Ajoutez à cela les mimes et les bruitages de la conteuse, et vous aurez une idée du plaisir que mes enfants ont associé à ce livre ... C'est gagné !!

Des livres en anglais, nous en aurons d'autres. Je veux bien vos coups de cœur, d'ailleurs ! 😉

4. Let's paste (and synthesize)


"Maman, on recommence le dessin en anglais ? Le dessin de monstre, tu sais ?"

Bonne idée ! Recommençons ! Avec une petite variante, cette fois : j'ai livré à mes enfants un gros catalogue périmé : "Et si notre monstre était fabriqué à partir d'un collage, cette fois ? À toi de repérer dans ces portraits les parties du corps qui t'intéresse et de les découper. Mais attention ! Ce catalogue ne se laissera pas découper comme ça ! Pour gagner ce qui intéresse, tu devras nommer la partie du corps en anglais !!"

Les enfants s'entraident si nécessaire, je viens à la rescousse en cas d'oubli. L'objectif n'est pas de passer une évaluation, hein ! Mais au final, comme les mêmes mots reviennent tout le temps, et que les enfants veulent constituer une grosse réserve pour fabriquer leurs monstres, j'aide de moins en moins et j'ai le sentiment que "ça rentre" assez bien ...

Finalement, après avoir découpé un plein plateau d'images, les enfants décident de ne pas créer de monstres bizarres, mais deux petites filles ... parfaitement normales. Enfin presque.
By Louiselle

(Saurez-vous deviner dans QUEL catalogue les enfants ont découpé toutes ces jolies parties du corps ??)

Après l'assemblage, les enfants ont voulu rédiger une sorte de légende. "Mais en français, car l'anglais, on ne sait pas encore l'écrire." Ce qui ne nous a pas empêché d'énumérer en anglais, une dernière fois, les différentes parties du corps de ces drôles de personnages : "Brown hair, big nose, yellow hands ... What a funny girl !!"

By Antonin

5. Let's talk !! (But not read ?)


Je termine cet article sur un petite remarque concernant l'Anglais écrit. J'avais reçu ce très intéressant commentaire à mon dernier article sur le sujet :

"J'ai peur de "perturber" mon ainé (qui sait lire !) en développant, en plus de l'approche phonique, une approche par la lecture ... On a des livres pour enfant en anglais, et même si avec le disque il prononce "sun", avec un livre, il lit un "sune" bien à la française. Je suppose que je m'inquiète pour peu de chose et que peu à peu, il fera le lien, l'avantage des flashcards issues du disque, c'est qu'elles font directement un lien entre le mot entendu/prononcé et le mot écrit/lu. As tu eu chez tes petits lecteurs la même situation ?"

Oui ! Le magazine I love English, par exemple, fait la part belle à l'écrit. Bien sûr, son approche est résolument phonique - la revue est "lue" par un disque, l'enfant est censé se contenter d'écouter. Évidemment, dans les faits, il n'en est rien ... Et si on commence à acquérir des albums en anglais, il ne faut pas rêver : nos têtes blondes n'attendront pas toujours qu'un adulte soit disponible pour les leur lire, et tâcheront de s'y coller tout seul.

C'est un vrai problème pour deux raisons :

- D'abord parce qu'il nous est très difficile, en tant que Français, de prononcer correctement un mot en anglais sans en avoir une image phonique. Le meilleur exemple pour moi est le mot "Future". Je me souviens que ma prof d'anglais de 6e l'avait écrit au tableau en le faisait répéter, individuellement, à quelques élèves. Lorsque vint mon tour, impossible : je gardais les yeux fixés sur ce mot au tableau et je ne parvenais pas à le dire. Alors, la professeure a effacé le mot, et m'a montré son oreille. Elle a dit le mot, je l'ai répété sans problème. Effectivement quel écart il y a entre l'image phonique de ce mot et son image visuelle, surtout quand on est français et qu'on utilise le mot "futur" !!

- Ensuite, parce que cela peut être source de confusion pour un lecteur débutant. En théorie, je ne vois pas ce qui nous empêche de dire à l'enfant : "Bon, en anglais le "i" fait parfois "aille", le "h" s'entend", le "ou" fait "eu" " ... Bien sûr, il faut le lui dire ! Mais pas avant que la langue française écrite soit parfaitement stable - franchement, cela me semble prématuré avant le CM1/CM2.

Que faire alors ? Se priver d'ouvrages en anglais ? Ce serait bien dommage, et assez vain, dans le mesure où notre environnement est saturé de mot anglais ...

La dernière fois que nous sommes allés dans un magasin de bricolage, nous sommes passé devant "Brico Drive" et les enfants n'ont pas manquer de déchiffrer l'enseigne ... à la française. Alors on explique : "C'est un mot anglais, il se lit "Draill've",  cela vient du verbe conduire en anglais : "to drive". C'est l'endroit où on peut aller en voiture, tu sais ? Pour charger les matériaux lourds directement."

Je n'ai pas de solution à ce problème. Je me contente de répéter inlassablement  : "Pour le moment, vous ne savez pas lire l'anglais, ni l'écrire. Mais ce n'est pas grave, on n'a pas besoin de savoir écrire pour apprendre à parler !!". À chaque fois qu'un mot anglais est écorché (parce lu), je reprends : "Non, telle lettre en anglais ne fait pas le même son qu'en français. L'anglais ne s'écrit pas comme le français. Ce mot anglais se dit comme ça."

Avoir conscience de cet écart entre nos deux langues, c'est déjà une grande acquisition, je trouve !! Et les détails seront construits plus tard - je suis d'ailleurs persuadée que cela se fera tout seul, en temps et en heure, étant donné l'importance de cette langue dans notre vie quotidienne !!

Qu'en pensez-vous ? 😊

You Might Also Like

25 comments

  1. merci de ce partage :)
    le catalogue c'est Hop Toys ?
    Pour la lecture CM1 CM2 me semble bien tard...
    Je dirais que ce n'est pas bien grave de lire l'anglais avec un accent français l'idée étant parexemple de comprendre le texte pas forcément de le dire àhaute voix. Et qu'il me semble qu on apprend aussi en lisant.Bien sûr il ne faut pas que ça vienne perturber l'apprentissage de la lecture en français et oui l'oral d'une langue étrangère est à privilégier. Pour nous en tout cas je m'appuie à la fois sur l'écrit et l'oral. Par exemple avec ma fille de 6 ans et demi qui lit en français des phrases ou des petits albums nous utilisons un jeu de 7 familles en allemand où les noms sont écrits et je nous ai écrit les phrases clés que je répète pour jouer. Au fur et à mesure le lien se fait...

    ReplyDelete
    Replies
    1. Oui, le catalogue, c'est Hop Toys !! :-D Bien joué ! ;-)

      Delete
  2. Ici (Québec) nous sommes confrontés au problème et d'autant plus que nous avons inscrit notre fille dans une école anglophone où elle apprend le français et l'anglais alternativement.
    A 5 ans, elle démarre donc l'apprentissage de la lecture, à commencer par l'alphabet, dans les deux langues. Il y a quelques confusion surtout sur les lettres aux sonorités mélangées (e, i, g, j ).
    Mais je reste confiante qu'elle finira par bien distinguer les deux langues et apprendre à lire dans les deux langues comme elle a appris à les parler.
    Ce sera plus long mais elle n'a pas de problème à séparer les deux langues à l'oral donc je ne vois pas pourquoi elle en aurait à l'écrit.

    ReplyDelete
    Replies
    1. Tout à fait, tant que l'oral est premier, il n'y a aucun soucis à se faire.

      Delete
  3. Ici aussi on a le même abonnement 👍

    Sinon un site très bien

    http://storytelling2.canalblog.com

    ReplyDelete
    Replies
    1. Ouah, quel super blog !! Merci Cerina, encore un super tuyau ! ;-)

      Delete
  4. Merci pour cet article. Le magazine a l'air très intéressant, mais c'est vrai que pour ma part j'attendrai que la lecture soit un peu plus stable en français pour proposer de lire en anglais... Deux livres coup de coeur en anglais ici : "brown bear what do you see?" et la série des "Spot", mais peut-être sont ils un peu trop "bébé" pour Antonin... A 6 ans ils plaisent encore bien à mes élèves... Tiens, il faudra que je les sorte pour ma fille également!

    ReplyDelete
    Replies
    1. Ah, oui, Eric Carle, bonne idée ... D'autant qu'on ne l'a pas ne français, celui-là (je ne voudrais pas faire doublon avec ce qu'on a déjà !!).

      Delete
  5. Je me souviens qu'en 6ème, nous avions des bds en anglais. Peut-être est-ce possible d'en trouver pour des plus jeunes (on lisait donc Blake et Mortimer en VO par exemple)

    Sinon, des dessins animés en VO c'est bien aussi (bon ça apprend plus l'américain souvent que l'anglais britannique, mais est-ce important au final ?)

    ReplyDelete
    Replies
    1. Oh, oui, je n'ai rien contre l'Américain !! Au contraire !! D'ailleurs les seuls vrais anglophones que nous côtoyons sont des américains. On parle aussi beaucoup anglais avec des amis Coréens et Japonais car c'est notre seule langue commune, mais là, c'est une autre histoire !! Et un autre type d'accent !! :-D :-D :-D

      Delete
  6. J'aurais tendance à penser q'il n'y a pas besoin d'attendre. Je ne suis pas sûre que cela perturbe vraiment l'apprentissage. Ma fille est dans une école catalane en immersion complète. Elle est en CP. L'apprentissage de la lecture se fait donc en catalan à l'école et elle a "Léo et Léa" à la maison pour le français. Depuis Noel elle maîtrise la lecture (même si cela manque de fluidité), et je constate qu'elle distingue bien les deux langues. Il y a quelques fois des erreurs (le "u" se prononce "ou" en catalan par exemple) et elle se corrige spontanément quand elle comprend de quel mot il s'agit. Chaque enfant est différent mais je garde le sentiment que l'apprentissage de la lecture peut se faire simultanément dans plusieurs langues.

    ReplyDelete
    Replies
    1. Bonjour Rosella, oui j'ai reçu plusieurs retours, sur les réseaux sociaux et par mail, qui allaient dans le sens de ce que tu décris. Mais ici comme dans tous autres témoignages, on est dans un autre cas de figure : immersion complète, voire bilinguisme. dans tous les cas, l'oral est premier. Ma nièce qui est bilingue, parle deux langues à 2 ans. A 6 ans, elle abordera simultanément le français écrit et le japonais écrit, mais l'oral sera construit dans les deux langues.

      Chez nous, nous ne visons pas le bilinguisme : on fait de l'anglais juste pour s'amuser, c'est tout ! :-)

      Delete
  7. Dès le CM1 ils sont amenés à écrire en anglais, je trouve ça difficile...
    Je crois bien que c'est le catalogue Hoptoy... Et c'est une chouette activité que je penserai à proposer à l'occasion aux enfants!

    ReplyDelete
    Replies
    1. Oui, c'est Hoptoys !! :-) :-)

      Oh là là, oui, moi j'ai constaté qu'écrire en anglais mettait vraiment les enfants en difficulté dans les classes, et je ne fais plus du tout d'écrit en élémentaire : tout à l'oreille !! Et encore, tes garçons sont d'excellents lecteurs, tu images les petits dyslexiques ?? Non, vraiment, moi j'ai trouvé que c'était pas cool pour mes petits élèves. Plus perturbant que constructif.

      Delete
  8. Super approche du vocabulaire du corps humain, j'adhère et je te pique l'idée.
    Je vais tâcher de me procurer le magazine pour me faire une idée avant de nous abonner ;)

    Ici nous avons (pour l'instant) un seul livre en anglais : The very hungry caterpillar. Un gros coup de cœur qui permet de découvrir les jours de la semaine les chiffres (1 à 5), quelques aliments.

    Go away, big green monster a l'air vraiment formidable, je vais l'ajouter à notre liste pour l'anniversaire qui arrive prochainement. :D (Merci de l'idée)
    Depuis le temps que je me dis qu'il faut que j’étoffe notre bibliothèque en anglais ! :p

    ReplyDelete
    Replies
    1. Rhââ, j'adore tes commentaires, Gwen, c'est toujours du soleil en boite ! Le genre de retour qui me donne toujours la pêche et envie de continuer à partager ! <3
      Merci !! :-)

      Delete
  9. Dizoloadenn21:12

    Ah l'anglais... et la lecture des mots à la française, c'est toujours un moment cocasse ��

    ReplyDelete
  10. L'école en famille21:13

    Merci pour cette découverte de I Love English Mini !

    ReplyDelete
  11. Ludo Ludo21:14

    Ce genre de séquence est une de mes préférées avec mes élèves. Ils dessinent le monstre de leurs rêves au tableau. Un élève est dessinateur. Les autres élèves disent ce qu'ils souhaitent. Une fois le monstre fini on réactive la description. Qu on note ensemble tableau/cahier pour trace écrite. Y a aussi le jeu du " le monstre a 3 jambes rouges ? Oui/ non il a /n'a pas..." en collège mais débutant en langue ��

    ReplyDelete
  12. Bonjour Elsa,
    Ici, je tente une introduction à l'allemand, tout simplement parce que je m'y sens bien plus à l'aise qu'en anglais. Quelques mots de vocabulaire pour l'instant (bonjour, au revoir, chiffres de 1 à 10, bonne nuit...). Mais voilà, rapidement, mes enfants se mettent à inventer des mots qui n'ont aucun sens, à dire qu'ils sont allemands et à rire comme des tordus! Ensuite, ils mélangent les vrais mots avec les faux et ça devient n'importe quoi. Je n'arrive pas à comprendre leur réaction... et en plus, je me rends compte que cela m'irrite fortement. Avez-vous une idée ?

    ReplyDelete
  13. Héhé, j'aurai dit Hop Toys pour le catalogue :)
    Merci pour ce partage, c'est super intéressant comme toujours !
    ET ça fait écho avec une séance que j'ai faite hier avec mes maternelles, je travaille sur Hervé Tullet avec eux en Arts, et nous avons peint de gros monstres (avec les consignes en français, hein !), en utilisant un dé pour donner le nombre d'oreilles, de yeux, de bouches, etc... C'était un super travail collectif ils ont adoré !
    Merci pour toutes tes sources d'inspirations :)

    ReplyDelete
  14. 2 livres vraiment sympas pour s'entrainer à l'oral en anglais pour les enfants à partir de 5 ans (en complément du I love english mini):
    - mon premier imagier sonore d'anglais chez Larousse
    - mon premier guide de conversation sonore d'anglais chez Larousse

    Incontournable chez nous...j'ai beau être fière de mon accent anglais..là...c'est impeccable

    ReplyDelete
  15. Bonjour ! Je vais commencer à travailler dans une école Montessori en tant qu'éducatrice anglophone dans une ambiance 3-6 ans. Merci infiniment pour vos ressources! votre blog est de grande qualité, une pépite :-)

    ReplyDelete